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Mieux comprendre les enjeux

La PMA sans Père

La procréation médicalement assistée (PMA) ou assistance médicale à la procréation (AMP) désigne un ensemble de techniques médicales destinées à aider les couples à concevoir un enfant. Elle comprend les pratiques de fécondation in vitro (FIV), l’insémination artificielle et le transfert d’embryons, ainsi que toute technique qui permet la procréation en dehors du processus naturel.

Avant la loi de « bioéthique » de 2021, la PMA était réservée aux couples homme-femme victimes d’infertilité (que la cause soit identifiée ou non) ou porteurs d’une maladie transmissible à l’enfant à venir. Plusieurs conditions s’ajoutaient à celles-ci : il fallait que l’homme et la femme formant le couple soient vivants (ce qui n’est pas le cas dans la PMA post-mortem), qu’ils soient en âge de procréer, qu’ils puissent apporter la preuve d’une vie commune et qu’ils consentent tous deux au transfert d’embryon ou à l’insémination. Si l’une de ces conditions manquait -si par exemple un des conjoints décédait ou révoquait son consentement ou encore si le couple divorçait ou se séparait- la PMA n’était plus possible.

Le couple pouvait recourir aux gamètes d’un tiers en cas d’infertilité ou en cas de risque de transmission à l’enfant d’une maladie d’une particulière gravité, mais AU MOINS UN des parents devait participer au processus procréatif. Ce cadre législatif était fait pour que l’enfant conçu par le couple soit accueilli dans un environnement équilibré et paisible, propice à sa croissance.

En 2021, la PMA a été ouverte aux couples de femmes et aux femmes seules.

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