Le suicide assisté pose une fausse question: La mort n’est pas la seule à arrêter les souffrances, il faut apprendre à soulager et accompagner les patients.
La Conférence des Evêques de France comme les associations de médecins ont raison de s’opposer à se légalisation et promeuvent les soins palliatifs, où la vie humaine est respectée.